Bilan livresque de Juillet !

J’ai à nouveau beaucoup de retard dans mon bilan lecture! La faute à ma reprise de boulot et à mes week-ends très chargés niveau travaux d’extérieurs à la maison!

Juillet a été un mois relativement chargé au niveau lecture, surtout dans la première quinzaine, d’autant plus que j’étais un peu plus d’une semaine en congés toute seule à la maison, et que vu le temps que j’ai eu, ça a été Open Bar niveau lecture ! J’ai lu aussi bien des livres relativement courts que de gros pavés bien prenants.

Et puis après avoir enchaîné trois excellents livres qui m’ont vraiment marquée (Projet Anastasis de Jacques Vandroux, Le prix de la vérité de Florent Marotta, puis Dolores de James Osmont) j’ai eu besoin de prendre un peu de recul pour pouvoir apprécier mes futures lectures, et faire autre chose…

 

[ 9 livres lus ]

Maxime Chattam – La conjuration primitive (Editions Albin Michel)

« Là, je dégaine direct ma catégorie « livre qui décoiffe ta tête de lectrice sans te faire bouger de ton canapé », comme ça, sans essayer de faire du faux suspense ! Ce livre est un cataclysme dans ma vie de lectrice ! »

Maxime Chattam – La patience du diable (Editions Albin Michel)

« Avertissement aux lecteurs : ce livre est complètement chronophage ! »

Ingrid Desjours – Les fauves (Editions La Bête Noire)

« J’aime les lectures qui me sortent de ma zone de confort et bousculent mes attentes. J’aime être surprise parce que le livre prend un tournant que je n’avais pas imaginé à la lecture de la quatrième de couverture. J’aime quand l’auteur me retourne le cerveau parce qu’il joue avec moi comme avec un pantin désarticulé. Et si j’ai aimé Les Fauves, c’est pour toutes ces raisons. »

Benoît Minville – Rural Noir (Editions Folio policier)

« L’écriture est sincère, sans édulcorant, et ça nous donne un thriller très ancré dans la réalité. Je ressens plusieurs jours après l’avoir terminé une sorte de sentiment désagréable de spleen, c’est pour ça que j’ai mis longtemps à poser des mots sur une chronique dont je ne suis pas forcément très satisfaite d’ailleurs. Comme l’impression que ce noir me colle à la peau et que cette fois, c’est moi qui n’arrive pas à m’en défaire et non plus les personnages…

Un premier roman noir très prometteur ! »

Florent Marotta – Le prix de la vérité  (Autoédition)

« Ce début de livre a provoqué en moi une sorte d’arrêt sur image : lecture d’une traite, sans me préoccuper de ce qui m’entoure, comme si le temps s’était arrêté tant j’étais désireuse de connaître le dénouement. Et puis le dénouement arrive, et c’est un peu le vide après. On attend le lendemain pour commencer sa prochaine lecture, il faut s’en remettre d’un bouquin comme celui-là, un livre dans lequel tu as pris part intégrante à l’histoire et que tu as eu l’impression de vivre de l’intérieur. J’ai eu besoin d’un sas de décompression. »

James Osmont – Dolores (Autoédition)

« Ce livre n’a rien à faire en autoédition. Un final admirable pour clôturer une série hors norme. »

David Morales Serrano – 18h37 (Editions De Borée)

Article à venir

Arni Thorarinsson – Le crime (Editions Points)

« Et puis il y a ce moment que chaque lecteur attend fébrilement, mais qui n’arrive que de rares fois et quand tu ne t’y attends pas, celui de LA révélation, ce moment qui te donne l’impression d’avoir reçu un uppercut tant tu n’avais rien vu venir, et qui te laisse bouche  ouverte et yeux écarquillés tel un mérou qu’on aurait sorti de l’océan et qui tenterait de respirer sans réussir à le faire. »

Jacques Vandroux  – Projet Anastasis (Editions Robert Laffont)

« Prenez une bonne dose de magouilles politiques, une pincée d’Histoire, une bonne dose de rebondissements et vous obtiendrez Projet Anastasis, un livre efficace et percutant ! »

 

Bonnes vacances à tous les aoûtiens!