Editions Milady, Non classé

Jusqu’à ce que la vérité nous sépare – Gillian MacAllister

C’est rare quand ça arrive parce que je choisis toujours avec grand soin mes lectures, mais parfois, ça ne passe pas… Et c’est le cas pour ce livre… C’était bien parti vers le début, et puis ça s’est essoufflé…

Je ne vais pas m’étendre en une longue tirade négative car je pense que ce livre pourra convenir aux amateurs de thrillers soft, mais pour moi qui aime quand ça tabasse, ça n’a pas fonctionné…

Je vous parle aujourd’hui de Jusqu’à ce que la vérité nous sépare, de Gillian MacAllister, paru récemment aux Editions Milady.

L’histoire (4è de couverture)

Éperdument amoureux, Jack et Rachel attendent un heureux événement. Ils ne se connaissent que depuis quelques mois, mais ils sont confiants. Un soir, pourtant, Rachel lit un mail qui ne lui est pas destiné. Un mot imprime sa rétine : « atrocité ». Et le doute s’installe. Qui est vraiment le père de son enfant ?

Rachel veut connaître la vérité. Elle ne peut envisager l’avenir avec un homme qui ment sur son passé. Mais est-elle tout à fait honnête ? Un an plus tôt, elle a perdu son poste à l’hôpital dans des circonstances troubles. Un secret qu’elle s’est bien gardé de révéler.

Ça ne passe pas…

L’idée était intéressante : un couple, des secrets, une vie qui fout le camp parce que le doute, la suspicion… Et puis à force de fouiller, les révélations… J’accroche durant les premières pages, et puis on me perd… J’ai détesté le personnage de Rachel, je l’ai trouvé naïve, soupe au lait, frôlant l’hystérie et devenant complètement paranoïaque et incontrôlable au moment où elle se met à surveiller son conjoint Jack. Qui n’a jamais eu envie de jeter un coup d’oeil dans le portable de son compagnon lorsqu’il était sous la douche ? Personne je pense ! Mais quand la surveillance tourne à l’obsession, on se demande finalement lequel des deux est le plus à craindre, et finalement celui auquel on peut le moins faire confiance n’est pas forcément celui qu’on croit…

Si je suis assez friande en général des lectures du genre, estampillées thriller psychologique, il faut que ça soit bien mené pour que j’arrive à accrocher réellement à l’histoire, surtout si elle se déroule au sein d’un couple car j’ai beaucoup de mal avec les intrigues qui se situent dans un environnement amoureux. Ici, c’est trop classique pour moi. Peu de surprise, voire pas du tout, une intrigue relativement lente qui fait que je n’arrive pas à vraiment me mettre dedans. C’est trop soft pour moi tout ça…

Le mot de la fin

Comme je vous le dis régulièrement, je ne vous déconseillerai jamais un livre, parce que chaque lecteur a sa sensibilité, et ce livre peut très bien convenir aux lecteurs/trices soft, ou qui veulent débuter avec le genre sans trop forcer.

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